Le programme « Prédateur-Proies » lancé en 2004 a permis de mieux comprendre l’activité de prédation exercée par les loups sur leurs proies. Grâce à la comparaison de zones avec et sans loups, un volet de l’étude a permis de suivre des populations de chamois, chevreuils, mouflons et cerfs afin de déterminer la part relative de la prédation sur la mortalité des ongulés. Des éléments restent encore à être exploités, comme par exemple l’effet de la neige sur l’intensité de prédation.
http://www.loupfrance.fr/pdf/Bulletin-Reseau-Loup-2013-N28_mortalite;ongules;predation.pdf